Si quelqu’un soutient que nous ne vivons pas vraiment dans l’âge d’or de la puissance, n’hésitez pas à lui indiquer – la Hennessey GT500 Venom de 1200 chevaux.
Connue pour tourner une clé sur certains des métaux les plus cool de ce côté d’un vaisseau spatial, la maison texane de la puissance produit déjà un couple de packs de performance pour la GT500, bien qu’elle ne soit pas encore réellement en vente chez les concessionnaires Ford.
Les kits existants font une puissance admirablement banale de 850 et 1 000 chevaux. Ce kit, qui appose des biturbines sur le moteur de la Ford, prend ce dernier chiffre et y ajoute 20 % de plus.
On trouve également à bord un système de refroidissement intermédiaire amélioré (natch) et des internes améliorés comme les pistons et les tiges. Ces roues arrière massives sont mises en rotation par le biais d’une « transmission améliorée », une transmission qui est vraisemblablement renforcée pour l’empêcher de se réduire à 10 000 bouchons huileux lors d’un lancement à pleine puissance.
Parlant de puissance, tous ces 1 200 chevaux se montrent au travail à 7 000 tr/min, tandis que son couple de 1 000 lb-pi culmine à 4 800 tr/min. Pour extraire ces 1 200 chevaux, il faudra alimenter cette GT500 Venom avec de l’essence E85 ou de l’essence à 109 octanes. Un système d’échappement en acier inoxydable sonne sûrement comme de l’argent qui explose.
Non conçue pour les introvertis ou les détectives sous couverture, cette Mustang est ornée de toutes sortes d’addenda criards, notamment des badges extérieurs « Hennessey » et « Venom 1200 » et une plaque de tableau de bord numérotée en série et signée par l’homme lui-même, plus une autre sous le capot.
La société fournira également les chiffres des tests de châssis sur banc d’essai avant et après l’installation afin que vous puissiez vous vanter auprès de vos copains de l’augmentation de puissance de votre Mustang. La garantie est même d’un an.
Cela signifie que nous vivons dans un monde où les Mustangs, Camaros et Challengers développent une puissance à quatre chiffres, un chiffre autrefois réservé aux Bugattis à un million de dollars. L’âge d’or de la puissance, en effet.